Test Thunder Force IV (Mega Drive)
/!\ Articles, walkthroughs and tips are only in french /!\
Bien malin sont ceux qui ont deviné que ce titre est la digne suite du cultisme troisième épisode de la série ThunderForce. En plus de cette série, rappelons tout de même que Tecnosoft est aussi le géniteur du sublime Elemental Master, Herzog Zwei ou encore Blast Wind, Hyper Duel, ThunderForce V (forcément, hein !) et Nekketsu Oyako sur 32-Bits (pour citer la crème). Voilà, on ne plaisante pas avec ces messieurs. On joue !
D'ailleurs, l'introduction de ThunderForce IV est au moins aussi abrupte que celle de mon texte. On est vite plongé dans son sujet. Cette séquence présente le malheureux vaisseau qui va connaître bien des misères lors de vos premières parties. La musique est fantastique, mieux elle est tout simplement culte ! Finalement, on se retrouve devant un écran de séléction des stages. Comme son prédécesseur, vous pouvez choisir l'ordre dans lequel vont se succéder les premiers stages, ce qui est toujours aussi efficace pour casser la monotonie et découvrir rapidement différents environnements. Quoi que vous preniez, sachez que la musique présente en fond sonore sera culte.
Le constat est unanime ! le jeu est fluide (on note néanmoins quelques saccades sur certains passages), la gestion des parallaxes impressionne. C'est beau ! Il n'est pas exagéré de dire que ce titre est celui qui a le mieux vieilli de sa génération. 1992 sera d'ailleurs une année très intéréssante pour le genre, avec Axelay sur la console d'en face ou Soldier Blade sur PC Engine. D'autant plus que pour ThunderForce IV, la bande-son est culte. On ne le dira jamais assez (oui, je pense caser cette information encore quelques fois dans les lignes qui suivent).
Le gameplay ressemble fort à celui du précédent. L'arsenal est relativement similaire aux épisodes II & III et la possibilité de changer la vitesse du vaisseau est toujours présente. Il est nécessaire d'up grader un minium son engin (acquérir de nouvelles armes) afin de devenir le maître de chaque lieu. Nous évoquions la qualité des décors, mais voilà qui est sans comparaison avec la classe qui émane des boss. Sur ce point, la série évolue quelque peu. Le design est une réussite totale surtout que la bande-son crédibilise l'action. Ces affrontements de fin de stage sont tout bonnement jouissifs, bien que stressants. Croyez moi, ces gardiens utilisent des techniques on ne peut plus sournoise. C’est presque de la triche !
"Stressant", le mot est lâché ! Il faudrait être relativement puriste pour se vanter de terminer le mode Maniac en un crédit. Pour sur. Sans atteindre la difficulté d'un Gaiares, ThunderForce IV est quand même bien mesquin parfois. Les tirs provenant de l'arrière de l'écran ou bien les attaques vicieuses par le bas sont légion ; et n'oublions pas le décors mouvant contre lequel on ne peut que s'écraser lors des premières parties. Un peu d'entraînement sera donc nécessaire pour voir la fin du jeu. Parlons en tiens ! loin de moi l'envie de vous spoiler le merveilleux scénario dont 99% des joueurs se moquent, mais il me fallait vous avertir que la musique de fin accompagnant le staff roll est culte. Non, mieux ! c'est probablement la plus marquante qu'il m'est été donné d'écouter. Si bien que le divin Tsukumo Hyakutarou l'a reprise dans " Best of ThunderForce " CD qui fut offert avec l'édition limitée de ThunderForce V sur Sega Saturn (et non sur PlayStation).
A la simple lecture du titre, ce test perd tout intérêt. Comme chacun le sait, la série ThunderForce est un petit bijou, et les épisodes III & IV sont assurément ses meilleurs représentants.
On peut également citer Gleylancer ou Eliminate Down, mais ces derniers restent bien plus onéreux. Prenez Thunder Force IV c'est déjà pas mal.
Test de
destiny - Publié le 29/12/04
Fatal error: Uncaught Error: Call to undefined function Affich_Commentaires() in /home/www/guardiana/htdocs/reviews/md/view.php:312
Stack trace:
#0 {main}
thrown in
/home/www/guardiana/htdocs/reviews/md/view.php on line
312